Randonnée : Col des 3 cocotiers
Dimanche dernier, nous sommes allés à Moorea afin de faire l'ascension du "Col des 3 cocotiers". Il s'agit d'une randonnée relativement facile qui se fait en une matinée (3h aller-retour). Le chemin est en bon état et le dénivelé n'est pas très important (l'ascension fait 370m). La seule difficulté, c'est l'absence de marquage, qui rend la présence d'un guide plus que recommandée la premier fois.
C'est d'ailleurs le cas pour toutes les randonnées de Polynésie Française car malheureusement, le potentiel "tourisme vert" des Îles n'est pas exploité. Il y a de belles randonnées à faire en Polynésie sur les îles jeunes (Archipel de la société -Tahiti, Moorea, Bora-Bora...- et les Marquises surtout) mais elles sont rendues difficilement accessible par l'absence de marquage et d'entretien des chemins.
L'autre difficulté prévisible, c'est la chaleur. Lorsqu'on est dans la végétation, sous les arbres et leurs grandes feuilles qui retiennent l'humidité et la chaleur, l'atmosphère est étouffante et on transpire à grosse goutte.
Au final, malgré la chaleur, c'était une belle ballade, ponctuée par un très beau panorama à l'arrivée. Avec d'un côté, les baies de la côte nord autour du mont Rotui, et de l'autre côté, le lagon côté ouest. Sinon, le Col mentionne 3 cocotiers mais depuis déjà de nombreuses années, il n'en reste plus qu'un car les deux autres ont été déracinés lors de cyclone.
Des photos ont été mises sur Flickr :
http://www.flickr.com/photos/dahduhdah/sets/72157612059868697/
De notre côté, cette première randonnée nous a donné envie de continuer à explorer le tourisme vert en Polynésie Française où il n'y a pas que des lagons poissonneux. Il y a beaucoup de possibilité que nous explorerons plus probablement vers le mois de mars car l'actuelle saison des pluies rend les chemins moins agréables et les guides profitent donc du début d'année pour prendre des vacances, et sans guide, pas de rando !
Au niveau du Col des 3 cocotiers, on sera capable d'y retourner sans guide une prochaine fois, on a laissé des petits cailloux pour se repérer ;-). Plus sérieusement, c'est une randonnée où le chemin est visible et à part quelques pièges, le parcours se fait facilement. Et lors de notre ascension, nous avons croisé des randonneurs non accompagnés.
C'est d'ailleurs le cas pour toutes les randonnées de Polynésie Française car malheureusement, le potentiel "tourisme vert" des Îles n'est pas exploité. Il y a de belles randonnées à faire en Polynésie sur les îles jeunes (Archipel de la société -Tahiti, Moorea, Bora-Bora...- et les Marquises surtout) mais elles sont rendues difficilement accessible par l'absence de marquage et d'entretien des chemins.
L'autre difficulté prévisible, c'est la chaleur. Lorsqu'on est dans la végétation, sous les arbres et leurs grandes feuilles qui retiennent l'humidité et la chaleur, l'atmosphère est étouffante et on transpire à grosse goutte.
Au final, malgré la chaleur, c'était une belle ballade, ponctuée par un très beau panorama à l'arrivée. Avec d'un côté, les baies de la côte nord autour du mont Rotui, et de l'autre côté, le lagon côté ouest. Sinon, le Col mentionne 3 cocotiers mais depuis déjà de nombreuses années, il n'en reste plus qu'un car les deux autres ont été déracinés lors de cyclone.
Des photos ont été mises sur Flickr :
http://www.flickr.com/photos/dahduhdah/sets/72157612059868697/
De notre côté, cette première randonnée nous a donné envie de continuer à explorer le tourisme vert en Polynésie Française où il n'y a pas que des lagons poissonneux. Il y a beaucoup de possibilité que nous explorerons plus probablement vers le mois de mars car l'actuelle saison des pluies rend les chemins moins agréables et les guides profitent donc du début d'année pour prendre des vacances, et sans guide, pas de rando !
Au niveau du Col des 3 cocotiers, on sera capable d'y retourner sans guide une prochaine fois, on a laissé des petits cailloux pour se repérer ;-). Plus sérieusement, c'est une randonnée où le chemin est visible et à part quelques pièges, le parcours se fait facilement. Et lors de notre ascension, nous avons croisé des randonneurs non accompagnés.